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Wytze Bos

  • Photo du rédacteur: Envoyé spécial
    Envoyé spécial
  • 2 janv.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 16 mars


Wytze est né à Dubbeldam, aux Pays-Bas, en 1939, et dès ses premières années, il incarnait un esprit d'exploration et de découverte. Son enfance, marquée par les défis de la Seconde Guerre mondiale, lui a inculqué une résilience et une profonde appréciation des possibilités de la vie, ce qui l'a conduit à étudier l'ingénierie à la Haute École Technique de Dordrecht.

Mais sa véritable aventure a commencé lorsqu'il a entrepris un voyage pionnier avec Liesbeth, son épouse bien-aimée et partenaire en toutes choses. Ensemble, ils ont parcouru le globe, élevant trois fils sur trois continents : l'Europe, l'Australie et l'Amérique du Nord. Leur esprit aventureux les a conduits à voyager à travers le monde et à vivre dans des lieux tels que les Pays-Bas, le Nigeria, l'Angleterre, la Nouvelle-Zélande, la Suisse, le Bangladesh, le Burkina Faso et le Canada, pour n'en nommer que quelques-uns.

Le désir d'innovation et de nouvelles idées de Wytze a offert à ses fils, adolescents curieux du monde, de nombreuses réponses qu'ils trouvaient souvent dans sa collection de livres issus de la bibliothèque de son propre père. Chaque mois apportait un nouveau livre, une nouvelle idée à discuter sur la construction d'une vie meilleure, d'une meilleure santé ou d'un monde meilleur.

Le parcours professionnel de Wytze était aussi varié que les pays qu'il a habités. Qu'il s'agisse de draguer des ports au Pays de Galles et en Nouvelle-Zélande avec Boskalis ou de développer des maisons préfabriquées au Québec, il a embrassé l'innovation à chaque étape. Il a poursuivi avec l'Agence Canadienne de Développement International pour construire des installations de stockage de céréales dans les endroits les plus reculés du Bangladesh. Au Burkina Faso, il a développé des programmes de distribution alimentaire dans la région désertique du Sahel.

Son dévouement aux causes humanitaires s'est poursuivi lorsqu'il a travaillé à Genève pour représenter la Communauté Internationale Bahá'íe aux Nations Unies. De retour à Montréal, il a collaboré étroitement avec son fils en tant que directeur des services à la clientèle chez Nakisa.

L'influence de Wytze allait bien au-delà des réalisations professionnelles. Sa découverte de la foi bahá'íe en 1970 a marqué un tournant profond, inspirant une quête de vérité et d'épanouissement spirituel tout au long de sa vie. Il était toujours entouré de livres sur la spiritualité, la vie après la mort, l'islam, le soufisme, le bouddhisme, l'hindouisme, le christianisme, et tout ce qu'il pouvait trouver sur divers sujets de la foi bahá'íe.

Toujours à l'avant-garde de la technologie et particulièrement passionné de musique, son goût allait des Beatles à Bob Dylan, en passant par Guy Béart et The Seekers. Il découvrait sans cesse de nouveaux sons, du jazz à l'opéra, et avait une affection particulière pour la musique chorale, qu'il explorait lui-même en chantant dans une chorale galloise et au Chœur Symphonies Vocales. Lorsqu'il promenait son chien, il s'arrêtait pour parler à tout le monde, essayant souvent de recruter quiconque il pouvait pour le chœur. Sa joie de vivre et son engagement à élever les autres sont restés intacts avec l'âge, et il était un phare de positivité pour tous ceux qui le connaissaient.

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