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Montréal, le 6 juillet, 2018 - « Le Plan divin » était le sujet d’un atelier présenté chez les frères de la Mission de Consolata par un ami de la communauté bahá’íe montréalaise. Depuis une décennie, ce groupe des frères, font une série d’étude pour se familiariser avec d’autres groupe religieux à travers la ville de Montréal et cet atelier était la suite de cette exploration. La première rencontre avec un membre de ce groupe a eu lieu lors de Salon du livre de Montréal en novembre 2002 et nous avons cultivé une relation d’amitié entre nous depuis cette date.

Lors de cette présentation d’une demi-journée les points de vue des scientifiques, des sociologues aussi bien que les perspectives bahá’ís ont été examiné. Les participants étaient agréablement surpris que le Plan divin « s'oppose aux opinions chimériques, aux doctrines impuissantes, aux théories crues, aux imaginations oisives et aux conceptions à la mode, d'un âge transitoire et troublé. »*

Historien et professeur titulaire au Département d'histoire de l'Université hébraïque de Jérusalem, Yuval Noah Harari insiste que la capacité d’un être humain lui donne la possibilité de « devenir dieu. » ! En même temps, il se pose la question : « Y a-t-il rien de plus dangereux que des dieux insatisfaits et irresponsables qui ne savent pas ce qu’ils veulent ? »

Par contre, les Écrits bahá’ís prouvent « … que le monde de l'existence a le plus grand besoin d'un éducateur, et que son éducation ne peut être réalisée que par le pouvoir divin.  Il n'y a pas de doute que ce pouvoir divin soit la révélation ; et que l’éducation des peuples doive se faire par ce pouvoir qui est supérieur aux forces humaines. »* 

Le concept de la connaissance de Dieu tel que suggéré par Albert Einstein - « Définissez-moi d'abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois. » a été examiné. Le groupe a eu la conclusion que la citation de Bahá’u’lláh, « Dieu, l’Essence inconnaissable, l’Être divin, est immensément exalté au-dessus de tout attribut humain »* est la meilleure des définitions suggérées !

Étant donné que la définition d’un plan est « Suite ordonnée d'opérations prévue pour atteindre un but », nous avons conclu que le Plan divin doit forcément avoir un but. Bahá’u’lláh dit : « Le dessein de Dieu en créant l’homme a été et sera toujours de le rendre capable de connaître son Créateur et d’accéder à Sa présence. Tous les livres sacrés, les écritures divinement révélées et de grande valeur attestent ce but excellent, cet objectif suprême. »* 

« Que [l’être humain] soit séduit, fasciné et attiré par la bonté de Dieu ; qu'il soit comme le papillon amoureux de la lumière, dans quelque verre qu'elle brille ; qu'il soit comme le rossignol séduit par la rose, quel que soit le jardin où elle pousse. »*

Les frères présents étaient unanimes que le « Plan divin » est un processus perpétuel qui change d’âge en âge d’après le besoin du temps. Que seul les messagers divins ont la capacité et le pouvoir de mener les êtres humains à ce but unificateur de l’unité et la paix. Que ce processus est continuel, progressif, évolutif et en accord avec le besoin de l’époque où nous vivons. 

L’Institut des Missionnaires de la Consolata a été fondé à Turin en 1901 par le l’Abbé Joseph Allamano avec un objectif essentiellement missionnaire. Pour lui, l’évangélisation incluait la promotion des personnes et des sociétés. Cette communauté religieuse catholique regroupe environ 1 000 frères, 1 000 sœurs et une centaine des collaborateurs laïques qui sont activement impliqués dans les microprojets socio-économiques surtout dans les pays en voie de développent. 

Sur la photo : les moto-ambulanciers de l’hôpital Notre Dame de la Consolata de Neisu en République démocratique du Congo. Les équipements et les médicaments sont les contributions des organismes canadiens.

*Source : les Écrits bahá’ís  

Montréal, le 24 mai, 2018 - Le message de l'unité de l'humanité, proclamé par Bahá'u'lláh, a été présenté dans une synagogue remplie de plusieurs centaines de membres de la communauté juive, des invités, des membres du Parlement canadien et des ministres du gouvernement.

L'occasion était la célébration de la 70e année d'existence de l'État d'Israël et les services que cette nation a rendus à la communauté mondiale. The Public Affairs of Montreal et Norman Simon's Canadians for Coexistence en collaboration avec Congrégation Shomrim Laboker, ont présenté une soirée publique célébrant la civilisation d'Israël. Les participants et présentateurs comprenaient des diplomates, des représentants élus de tous les ordres de gouvernement, des journalistes, des activistes sociaux, des hommes d'affaires et des leaders culturels et religieux. C'était une réunion de la meilleure et la plus brillante des discours de cœur à propos de cette nation. Parmi les intervenants il y avait :
-       Consul général d'Israël David Levy
-       Consul des É.U. Robert Dhalke
-       Le consul général roumain Ioana Costache
-       Le député. David Kilgour, CP, ancien secrétaire d'Etat pour l'Europe centrale et le Moyen-Orient
-       Le député. Maxime Bernier, CP, député, ancien ministre des Affaires étrangères
-       Le député. Kathleen Weil, députée, ministre responsable des relations avec les Québécois anglophones
-       Leo Housakos, ancien Président du Sénat
-       Le député. Gerry Weiner, CP, ancien ministre de l'Immigration
-       David Birnbaum, député et adjoint parlementaire du premier ministre Couillard
-       Marvin Rotrand, doyen du conseil municipal de Montréal
-       Mary Deros, membre du conseil municipal et ancien maire adjoint de Montréal

Les deux membres des Affaires extérieures de la communauté bahá'íe de Montréal ont présenté la relation historique de la foi avec Israël en commençant par la célèbre citation de Bahá'u'lláh adressée au professeur Edward Granville Brown de l'université de Cambridge en avril 1890 :
« ... Que toutes les nations deviennent une dans la foi et que tous les hommes soient frères ; que les liens d'affection et d'unité entre les enfants des hommes soient fortifiés ; que la diversité des religions cesse et que les différences de races soient annulées…quel mal y a-t-il à cela ? Cela sera, malgré tout ; Ces luttes, ces massacres et ces discordes doivent cesser et tous les hommes former une seule famille... Que l'homme ne se glorifie pas d'aimer son pays ; mais qu'il se glorifie plutôt d'aimer le genre humain... »

Il a été mentionné que Bahá'u'lláh a été expulsé vers la Terre Sainte par « des bannissements successifs, culminant son exil à la colonie pénitentiaire turque d'Acre en Israël, sa mort subséquente, et enterrement dans son voisinage ..." – ainsi la foi bahá'íe se rejoint au judaïsme, au christianisme et à l'islam qui, pendant des siècles, ont reconnu la Terre Sainte comme sacrée.

En 1891, Baha'u'llah a désigné le Mont Carmel comme lieu du siège mondial de Sa Foi. Il a également ordonné que les restes du Báb, le Héraut de la Foi et un Prophète de son propre chef, soient enterrés sur le Mont Carmel.

En 1892, Bahá'u'lláh est décédé dans un manoir à la périphérie d'Akka et a été enterré à proximité, son sanctuaire devenant ainsi le lieu le plus saint de la terre pour les bahá'ís.

En 1953, la superstructure en marbre blanc et à dôme doré a été érigée sur le mausolée du Báb, complétant le sanctuaire qui est le deuxième lieu le plus sacré pour les bahá'ís.

Au fil des années, les bahá'ís ont construit une série de jardins, englobant d'autres monuments sacrés, ainsi que d'autres bâtiments administratifs dans la région de Haïfa / Akka. Tous sont entièrement financés par des contributions de la communauté mondiale bahá'íe.

Deux ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le mandat britannique arrivait à son terme et les Nations Unies nouvellement créées, ont nommé un comité spécial sur la Palestine pour examiner l'avenir de ce pays. En réponse à une demande du président du comité concernant l'intérêt religieux des bahá'ís, certaines caractéristiques uniques de la position de la Foi en Terre Sainte ont été portées à leur attention.

C'est dans le sol de cette terre « que sont enterrées les trois figures centrales de notre religion », en référence à Bahá'u'lláh, le Báb, et au fils de Bahá'u'lláh, ‘Abdu'l-Bahá. La Terre Sainte « n'est pas seulement le centre des pèlerinages bahá'ís du monde entier, mais aussi le siège permanent de son ordre administratif ».

Le sujet controversé du futur statut politique de la Terre Sainte a été abordé comme suit : « Notre but est l'établissement de la paix universelle dans ce monde et notre désir de voir la justice prévaloir dans tous les domaines de la société humaine, y compris le domaine politique.

Comme beaucoup d'adeptes de notre foi sont d'origine juive et musulmane, nous n'avons aucun préjugé envers l'un ou l'autre de ces groupes et sommes très désireux de les réconcilier pour leur bénéfice mutuel et pour le bien du pays.».

Les bahá'ís sont reconnaissants que le gouvernement d'Israël ait reconnu et sauvegardé en permanence l'indépendance de la foi, son droit de gérer ses affaires internationales dans cette région, et le droit des bahá'ís de tous les pays de s'y rendre en tant que pèlerins.

« Il faut se rappeler que le seul notable oriental de toute position qui n'ait pas fui la Palestine avant la guerre d'Indépendance était Shoghi Effendi, le Guardian de la foi bahá'íe en 1948. Ce fait n'a pas échappé aux autorités de la nouvel Etat [d'Israël] ».

« L'un des premiers actes du mouvement d'indépendance juive, alors que la guerre mondiale se poursuivait, consistait à placer un avis sur le Sanctuaire de Bahá'u'lláh – un lieu beaucoup plus isolé que les sanctuaires de Haïfa - en déclarant que c'était un Lieu saint, assurant ainsi qu'il serait traité avec respect par tous les Juifs. »

Le Centre mondial bahá'í, avec quelque 700 volontaires du monde entier, est un symbole de l'unité de l'humanité et fournit un exemple de la façon dont des personnes de nationalités et de religions différentes peuvent se rassembler en harmonie et travailler pour la paix et la prospérité du monde.

La ville de Haïfa et le gouvernement d'Israël ont accueilli honorablement la présence bahá'íe et l'embellissement du Mont Carmel. L'ancien maire de Haïfa, Amram Mitzna, a écrit que les Jardins et les Terrasses achevés pour le Sanctuaire du Báb offrent un « panorama inoubliable » pour « l’appréciation de tous les amoureux de la beauté. »

Plusieurs intervenants, dont le consul général israélien David Levy, ont remémoré la présence des bahá'ís en Terre Sainte et ont reconnu leur contribution à la paix et à l'harmonie en Israël.

Lors de la réception qui a suivi, Norman Simon l'organisateur principal de l'événement, a reçu une trousse d'information sur la foi bahá'íe. De nombreux représentants interconfessionnels ont accueilli les bahá'ís chaleureusement et les ont invités à leurs futurs événements.

Montréal, le 16 mai 2018 -  Les élèves du 1ère secondaire au Collège de Montréal ont visité le Sanctuaire bahá’í, l’ancienne maison de l’architecte montréalais William Sutherland Maxwell, le mercredi 16 mai. Cette maison, le seul endroit sacré en Amérique du nord, a été béni par le séjour d’Abdu’l-Bahá à Montréal en 1912.

Les 25 élèves ont été accompagné par leur animatrice à la vie spirituelle et l’engagement communautaire au Collège de Montréal. En effet, le collège offre un cours d’éthique et culture religieuse qui permet aux élèves de connaître les grandes religions du monde.  Au cours de l’année, les élèves explorent comment les différentes religions du Québec et d’ailleurs ont influencé nos vies, nos traditions et notre façon de voir la société.

Le Collège de Montréal a une communauté d’élèves très variés provenant de nombreux pays à travers le monde. À travers cet activité, il est souhaitable que les élèves puissent interagir avec des gens de diverses traditions religieuses ce qui permettra un meilleur dialogue entre eux et les gens qu’ils côtoient tous les jours. Ainsi, le collège développe leurs connaissances de même qu’accroître leurs horizons.

Cette année, la quatrième depuis que les élèves du collège visitent le Sanctuaire, nous avons reçu 25 élèves accompagnés par deux professeurs. Lors de la visite qui a duré une heure et demi, un extrait de la vidéo « Lumière du Monde » a été présenté et les informations concernant l’histoire et les principes de la foi bahá’íe ont été partagé avec les élèves. Ils ont reçu des dépliants relatifs au Bicentenaire de la naissance de Bahá’u’lláh ainsi que le répertoire des jours saints et le calendrier bahá’í. Chaque élève devrait remplir un questionnaire concernant son expérience lors de la visite et écrire les principaux sujets qu’il ou elle a appris. Une période a été consacrée aux questions et échanges pour compléter cette tâche.

Les élèves étaient très respectueux lors de la visite de Sanctuaire. Ils ont posé de nombreuses questions concernant les objets décoratives exposés dans les différentes pièces de la maison Maxwell et leurs significations. Ils sont exprimés leur joie d’avoir la possibilité de visiter ce lieu sacré à Montréal.

Cette année, le Collège de Montréal célèbre la 250e année de sa fondation. Il a été fondé en 1767 par le Sulpicien Jean-Baptiste Curatteau de la Blaiserie, le Collège s’installe dans le presbytère agrandi de la paroisse de Saint-François d’Assise de la Longue Pointe, à l’est de l’Île de Montréal, 125 ans après la fondation de cette ville et 100 ans avant la Confédération canadienne.

Cette visite annuelle du Collège de Montréal ne sera pas possible sans l’appui d’une petite équipe d’amis, dédiés au service à la communauté.

Montréal, le 24 mai 2018 - Quelque 150 amis et membres de la communauté de Montréal se sont assemblées au Centre bahá’í pour célébrer l’anniversaire de la mission du Báb, le Héraut de la foi. Cet événement qui a eu lieu dans une modeste maison à Shiráz il y a 174 ans, indique le commencement de l’Ère bahá’íe ou l’Ère nouvelle. Des prières spéciales accompagnées de musique et de textes historiques concernant les événements de la déclaration du Báb ont été présenté par les amis bahá'ís du Cœur de l’Est de Montréal avec l'aide des enfants et des jeunes de la communauté.

 L’ère bahá’íe commence le 23 mai 1844, le jour où, dans la ville de Shiraz, en Iran, le Báb a déclaré sa mission. À cette occasion, il a prononcé les paroles suivantes à Mulla Husayn, la première personne à reconnaître cette mission : « Ô toi qui es le premier à croire en moi ! En vérité je le dis, je suis le Báb, la Porte de Dieu, et tu es le Bábu’l-Báb, la porte de cette Porte. [...] Cette nuit, [...] cette même heure sera, dans les temps à venir, célébrée comme l’une des fêtes les plus grandes et les plus significatives. »

Nous pouvons mieux comprendre la signification de ce jour saint bahá’í, qui a été appelé « une des fêtes les plus grandes et les plus significatives », si nous songeons aux grands changements qui sont survenus dans le monde depuis cette époque. Les bahá’ís croient que le Báb et Bahá’u’lláh ont libéré une énergie créatrice qui transforme tous les aspects de la vie de la famille humaine.

Bahá’u’lláh a écrit : « Une vie nouvelle anime en cet âge tous les peuples de la terre, mais personne n’en a découvert la cause ni perçu la raison. » Cette nouvelle vie se manifeste dans des choses comme l’explosion de connaissances, les mesures qui reflètent une conscience croissance de l’unicité de la famille humaine, l’établissement des Nations unies, la Déclaration universelle des droits de l’homme, des projets mondiaux visant à améliorer l’agriculture, l’hygiène et les soins de la santé, les efforts faits pour améliorer les normes et les lois internationales et la reconnaissance du besoin de promouvoir le statut de la femme et des filles.

Les débuts sont toujours spéciaux, qu’il s’agisse d’un mariage, d’une naissance ou de l’apparition d’une invention ou d’un nouveau processus. Combien plus spéciale encore peut-être cet anniversaire, celui de la déclaration du Báb, puisqu’il marque le moment de la naissance d’une nouvelle religion et d’une nouvelle collectivité ? La communauté bahá’íe, qui compte environ cinq millions de membres, est présente pratiquement partout dans le monde. Les bahá’ís travaillent étroitement avec d’autres communautés, sympathisants, partenaires et collaborateurs pour réaliser les promesses du Báb et de Bahá’u’lláh que l’humanité vivra un jour dans la paix et la prospérité.

Montréal, le 22 avril 2018 - À l’occasion du Brunch de reconnaissance des bénévoles 2018, une délégation de la Communauté bahá’íe laurentienne ainsi que des dizaines d’autre organismes communautaires ont été invités au Centre des loisirs par l’arrondissement de Saint-Laurent. Il faut reconnaître que depuis plusieurs décennies, un nombre d’individus de la communauté sont vivement impliqués dans les activités des organismes de l’arrondissement, tel que le YMCA, COSSEL et la journée internationale de la Paix. 

Lors de la cérémonie de reconnaissance, un diaporama des activités des jeunes et des enfants de la Communauté bahá’íe ainsi que la célébration du bicentenaire a été présenté aux participants sur un écran géant ! Les objectives de nos activités pour améliorer la société et le service à la communauté ont été soulignés dans cette présentation.

 Le Brunch de reconnaissance des bénévoles vise à souligner les nombreuses initiatives réalisées par les organisations communautaires au cours de la dernière année.  

Lors du 26e Brunch des bénévoles, le maire M. Alan DeSousa et les conseillers de l’arrondissement ont rendu hommage à tous ceux et celles qui contribuent à faire de Saint-Laurent une communauté dynamique par leur dévouement et leur engagement au sein de diverses organisations. Le Centre des loisirs a été l'hôte d’au-delà de 300 bénévoles qui représentaient plus de 70 organismes à Saint-Laurent. Le maire, dans son discours de remerciement, a souligné l’importance des travaux communautaire et son influence sur la paix et la tranquillité qui règnent dans cet arrondissement grâce à nos bénévoles. 

L’arrondissement de Saint-Laurent comprend la plus large diversité ethnique à Montréal, quelque 70 variétés, qui dialoguent en une centaine de langues et dialectes. 53% de la population de cet arrondissement est composé des immigrants !  Plus de la moitié des résidents de l’arrondissement peuvent soutenir une conversation à la fois en français et en anglais (59 %). Le français demeure toutefois la langue la plus utilisée à la maison, même si l’anglais et l’arabe sont utilisés au quotidien par un grand nombre de personnes. 

Cet arrondissement compte de nombreux organismes sociocommunautaires œuvrant dans des diverses sphères d’activité : emploi, éducation, logement, sécurité alimentaire, etc.

Le brunch de reconnaissance des bénévoles est un moment privilégié pour se réunir autour d'un repas, pour célébrer les nombreux exploits réalisés au cours de l'année précédente et pour reconnaître tout le travail accompli.

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